Des mesures prises pour protéger les personnes vulnérables
Depuis la propagation du Coronavirus en France, les personnes âgées et fragiles sont sous haute protection. En conséquence, pour limiter au maximum les risques de contagion auprès de nos bénéficiaires, les accueils du jour du Réseau APA ont du être fermés.
Cette mesure à été prise conformément aux directives sanitaires afin de protéger nos bénéficiaires et les inciter à rester à leur domicile. Nos structures accueillent en effet, des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou troubles apparentés pour leur permettre de stimuler leur mémoire et leur corps.
Pendant la journée, nos équipes encouragent et valorisent les capacités de chaque participant, grâce à des activités adaptées.
Garder le lien, malgré la fermeture
Cependant, malgré la fermeture à cause du Coronavirus, nous continuons l’accompagnement.
« Nos professionnels contactent quotidiennement nos bénéficiaires et leurs aidants pour prendre de leurs nouvelles, garder le lien et vérifier que leur situation ne se dégrade pas. » explique Albane BRUNNER, adjointe à la direction des Accueils de Jour APAMAD.
Être aux côtés des personnes les plus fragiles
Véritables lieux de vie, nos structures ont des effets bénéfiques autant pour les bénéficiaires que pour leurs aidants. En effet, en temps normal, l’accueil de jour permet d’apporter une journée entière de répit pour l’aidant familial. Un répit précieux pour entretenir dans le temps sa capacité d’aider l’autre, car il va permettre de pouvoir prendre soin de lui-même. Il s’agit donc de veiller au maximum à maintenir des bulles d’oxygène.
C’est pourquoi, pour les bénéficiaires les plus fragiles et isolés, les équipes se relayent à domicile pour aider les bénéficiaires dans les actes de la vie quotidienne. Nos professionnelles sont là pour soulager les aidants : aide au repas, à la toilette… « Nous agissons de manière très organisée mais la situation actuelle nécessite des réajustements permanents. Et nous restons toujours en lien étroit avec les médecins traitants.» précise encore Albane BRUNNER.